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Kelly T., promo 2017, AgroSupDijon

Pour moi la prépa a été une période intense, fatigante mais formatrice. On doit intégrer beaucoup de choses en deux ans, des connaissances à la fois théoriques et pratiques qui sont en plus assez diverses en BCPST, entre les matières scientifiques et littéraires comme les lettres et la géographie. Ça demande donc de la volonté et de l'organisation.

Cette époque a été fatigante aussi bien physiquement que mentalement pour moi, mais je pense qu'elle m'a aussi endurcie et fait gagner en rigueur (en arrivant en école on se rend compte qu'on nous a habitué en prépa à un certain niveau de rigueur, d'exigence, qui est peut-être assez unique à celle-ci). 

Je pense qu'à JBS les enseignants remplissent tout à fait leur part du contrat, en nous formant du mieux qu'ils peuvent aux concours, et le reste dépend surtout de nous, de notre motivation, et de notre travail personnel. En tous cas, au moment où j'y étais les professeurs étaient très dévoués, bienveillants pour la plupart, on sent qu'ils sont très calés dans leur domaine et qu'ils ont envie de nous voir réussir aux concours. 

J'ai suivi la formation ingénieur spécialité agroalimentaire à Agrosup Dijon, école dans laquelle j'ai été admise à la suite du concours A. En dernière année, j'ai suivi la dominante « formulation » (appelée SUFFICIENT) dans cette école. Je viens tout juste de terminer en décembre mon stage de fin d'études en tant qu'ingénieur R&D dans une entreprise qui fournit des ingrédients alimentaires aux professionnels de la gastronomie (pâtissiers, restaurateurs...) et à des industriels. Je suis donc à la recherche d'un premier emploi, en étant assez ouverte aux types de postes même si j'ai une préférence pour le développement de produits. 

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