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Alexandre S., promo 2018, Montpellier SupAgro

La prépa… qu’on le croit ou non, ce sont souvent deux années que l’on évoque avec une légère nostalgie. À cette époque, notre cerveau est doué de prouesses intellectuelles sans égal dans notre vie. Il est très satisfaisant de voir à quel point nous sommes capables de comprendre, d’apprendre, de raisonner, … C’est la toute dernière occasion de relever ce défi ! Saisissez cette chance ...

Choisir la prépa BCPST, c’est faire le bon choix. Ou plutôt ne pas avoir à faire de choix : on n’abandonne aucune matière : maths, physique, chimie, français, anglais, géographie, … et bien sûr, c’est le seul moyen de poursuivre les SVT ! Ainsi on ne se ferme aucune porte pour l’avenir. C’est aussi une grande variété de thèmes abordés et très intéressants. Enfin, comme les coefficients sont tous à peu près les mêmes, un point faible peut être compensé par un point fort.

À Jean-Baptiste Say, les professeurs sont dévoués et serviables. Très investis dans nos études et notre progression, ils apprennent à nous connaître rapidement. Certes, ces professeurs sont rigoureux et exigeants mais c’est indispensable pour notre réussite, alors après avoir intégré une école, on les remercie pour les quelques moments de sévérité. Eux ne nous laissent pas tomber ; ils nous encouragent.

Enfin, le dernière élément de la prépa, c’est la classe. À JBS, il y en a une seule ! Tout le monde se connaît donc. Il y a une bonne ambiance, pas de mauvaise compétition. Finalement, c’est une famille pour deux ans, qui débouche sur des amitiés pour la vie.

Voici les mots d’un ancien BCPST de JBS, maintenant en année de césure après deux ans à l’Institut Agro (anciennement Montpellier SupAgro), futur ingénieur agro-alimentaire, éventuellement dans une spécialité d’AgroParis Tech.

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